Lisez ici la première partie de l’explication concernant cette période de vie.
Douleurs et inconforts : nos alarmes !
Les alarmes du corps sonnent et se font de plus en plus audibles. Le cerveau, malgré ces « trucs et astuces » pour indiquer que « tout va bien, ne vous inquiétez pas », n’y arrive plus. L’énergie n’est plus autant disponible, l’usure est franchement installée. Même le comportement n’a plus envie d’y mettre du sien. Le vase déborde ! Alors, l’aide est sollicitée.
Dans un premier temps, le cerveau a bien en tête les problématiques liées à la déflagration de cette bombe dans le cœur. Et il évite soigneusement les conséquences créées par sa propre gestion : « personne ne tombe, tout le monde avance ! ». Même l’absence de la joie de vivre n’est pas suffisamment motivante pour lui permettre de prendre ses responsabilités.
Le corps, toujours plus fatigué, entame une argumentation : douleurs en tout genre, inconforts permanents, problématiques qui s’accumulent, toutes plus surprenantes que les précédentes… Le cerveau, rusé, sait que cette rébellion est vouée à l’échec : maintenir au plus bas le volume des ressentis permet de garantir de ne pas ressentir tout court !
« Je suis bloquée ! »
Un jour, la surprise survient. Malgré l’absence d’audition des ressentis internes, une douleur a été émise incroyablement forte et audible ! Le cerveau à beau vérifier son panneau de contrôle, il ne trouve pas la source et ne sait pas quoi faire pour endiguer cette alarme. Et puis, il est lui aussi fatigué de tant de contrôle, tant de travail, tant d’efforts. Il lâche un peu la bride.
Ça y est le corps s’écroule. La douleur est forte, vive, bloquante. Elle semble même provoquer notre propre mort. Elle détruit tout espoir sur son passage. Elle nous rend prête à tout essayer. La résistance aux prises en charge les plus classiques et conventionnelles motivent par la suite des tentatives au approches plus loufoques et même les chelous ++.
Ouf ! L’alarme diminue. La routine peut se réinstaller. Celle que le cerveau a juré de changer au plus dur des douleurs. Celle que le cœur, se réveillant de sa longue syncope, s’est promise d’abolir.
« J’en peux plus et je ne sais plus quoi faire »
Des mois et des années passent encore. La même ou d’autres nouvelles alarmes voient le jour. Le cerveau, prêt à tout, continue de faire des promesses de changement qu’il n’a pas les moyens de tenir. Le cœur, continue d’espérer et motiver des comportements différents.
Mais les résistances du corps sont là. Les mémoires des différentes déflagrations, le trop plein d’amour qui ne trouve pas la sortie, l’ajout de nouvelles blessures, l’absence de connaissances et de modèles indiquant « comment faire ? » sont autant de facteurs limitants séparément et qui forment un nébuleux fatras ensemble.
Une solution pour se sentir mieux ?
Le cœur ne désespère pas, le corps non plus. Si bien que le jour où, par hasard, au détour d’une conversation avec une inconnue, l’ombre d’une possibilité de comment faire « avec ce qui est déjà en nous » pour se retrouver, pour sortir du zombie et passer à la Vie est possible, notre cœur prend les commandes.
Là, enfin, l’on voit la pertinence d’accepter d’afficher sous une franche lumière notre cœur émietté et trouvé le moyen de nettoyer ce qui en suppure, de réparer à coup d’amour les béances liées aux déflagrations et proposer une nouvelle manière de l’utiliser en débranchant soigneusement le cerveau.
Peu facile, souvent cet exercice encourage la chute. Tomber n’est ni agréable, ni facile. Cela reste une action effrayante : et si je ne pouvais pas me relever ?
L’Ajustement à La Maison Chiropratique
Ce que les années dédiées à accompagner des formidables humaines, blessées par de nombreuses déflagrations m’ont montrée : même si vous ne savez pas aujourd’hui « comment », je n’ai aucun doute que vous saurez vous relever et (enfin) Vivre.
A très vite,
Dre N’zé Adèle, Chiropraticienne, D.C.
Je suis ravie de vous accompagner pour vous sentir bien dans votre vie !