J’ai découvert la chiropratique à 17 ans, complètement par hasard. En terminale, en train de remplir les dossiers d’inscription en médecine, sans passion ni fougue, je me posais pas mal de questions. A l’époque, mon père écoutait religieusement RFI et une émission fût consacrée aux thérapeutiques alternatives et manuelles. Avec ma mère, ils m’ont conseillé d’aller observer la « chiro » du coin.
D’abord rebutée par ce nom, mes parents m’ont encouragée à découvrir (« mais tu vas arrêter d’être butée et vas voir ce que c’est ! »). Quelle découverte ! Satisfaite de mon expérience patiente, j’ai ensuite eu la chance d’observer cette chiro travailler. Incroyable ! Une dame, pas très grande, pas spécialement costaude, qui s’occupait aisément de divers profils physiques de patientes. De grands « baraqués » et des bébés ; avec des patientes qui adoraient le « cric crac croc » et d’autres qui ne supportaient pas d’être touchées. Incroyable de chez incroyable ! Je suis tombée amoureuse de la chiropratique ce jour-là, juste à constater l’apaisement sur les visages de toutes ces patientes en fin de séance !
Dossier complété et accepté, j’ai suivi le cursus de la seule école française de chiropratique, qui donne accès à un double diplôme, Français et Européen. Diplômes en poche, j’ai d’abord envisagé de m’installer au Canada. J’y ai alors passé les certifications nécessaires. Et puis, ma douce Côte d’Ivoire m’appelait. Je suis rentrée au bercail pour débuter, sans chichi, dans une pièce, chez mes parents. Oui, clairement, je suis une chanceuse.
Et depuis lors ? Je vis une passion. Une approche très mécanique au début m’a permis de savoir aider les personnes souffrantes de douleurs et incapacités sur les articulations, les muscles et les ligaments. Je recevais tant et plus de « sciatiques », « lombalgies », « arthroses » qu’elles soient cervicales, lombaires, des mains ou même des genoux. Je n’oublie pas les « myalgies » et les « entorses » des ligaments du cou ou des pieds. Mon approche avait pour but de soulager mes patientes. Puis, plus je pratiquais, plus j’étais confrontée à des cas « challenges » : une présentation typique d’un cas avec une résolution plus difficile à obtenir.
J’ai continué les formations pour mieux répondre aux besoins de ma patientèle. Et chemin faisant, ma pratique a énormément évolué. Ce qui m’amène aujourd’hui à posséder plusieurs cordes à mon arc et à utiliser toutes bénéfiques pour ma patiente, dans les plus brefs délais.
Ma thérapeutique actuelle est déroutante, car forte de ces différents enseignements reçus, je suis capable maintenant de travailler en utilisant et des approches manuelles chiropratiques et une méthode chiropratique qui utilise des fréquences énergétiques. Résultat des courses, j’ai un large choix thérapeutique pour accompagner ma patiente : en touchant physiquement ou en touchant énergétiquement, j’accompagne en douceur l’Humaine à (re)devenir elle-même. Une version plus fluide, plus reposée et plus centrée sur elle-même. Une version plus entière aussi, moins fragmentée. Une personne qui se sent bien avec elle-même et de facto, bien avec les Autres, qu’elle choisit, dans sa vie.
A très vite !
Dre Adèle N’zé, Chiropraticienne, D.C. Je suis ravie de vous accompagner à vous sentir bien dans votre vie !
